3e étude de cas
7-8 novembre 2018
Ce projet se donne pour objectif de promouvoir les méthodes probantes pour l’éducation des migrant(e)s dans les écoles et d’évaluer les politiques et pratiques actuelles dans ce domaine. Le résultat du projet sera une série de propositions et recommandations concrètes adressées aux organisations membres et aux gouvernements.
Groupe consultatif
- Susan Flocken CSEE
- Paola Cammilli CSEE
- Daniel Wisniewski EFEE
- Sarah Kik EFEE
- Charlotte Holm DLF Danemark
- Jean-Luc Barbery ACOD-Onderwijs Belgique
- Pantelis Nicolaides OELMEK Chypre
- Tanja Modrijan ESTUS Slovénie
- Maria Luisa Vico Nieto FeSP-UGT Espagne
- Borka Visnic TUS Serbie
- Brenda Lynch ETBI Irlande
- Koenraad Vandenbussche GO! Belgique
Groupe consultatif
Avec le soutien de
- Ce projet bénificie du soutien de la Commission européenne
Avec le soutien de
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La troisième étude de cas menée dans le cadre du projet « Initiative des partenaires sociaux sectoriels européens de l’éducation pour promouvoir l’intégration efficace des migrant(e)s et des réfugié(e)s aux systèmes éducatifs » a été organisée en Belgique, les 7 et 8 novembre 2018, avec le soutien des organisations membres du CSEE et du syndicat ACOD-Onderwijs, partenaire du projet. La délégation de l’étude, à laquelle participaient des représentant(e)s du CSEE et de la FEEE, le spécialiste de la recherche accompagnant le projet et un représentant du groupe consultatif du projet à Chypre, a eu l’occasion de mieux connaître les bonnes pratiques et les problèmes observés dans le système d’éducation flamand concernant les politiques pour l’inclusion et l’intégration des primo-arrivant(e)s. La délégation s’est rendue dans des établissements d’enseignement primaire et secondaire et a participé à des échanges avec les organisations d’employeurs de l’éducation (GO!, POV et KOV), le ministère flamand de l’Education, diverses ONG, ainsi qu’avec des enseignant(e)s, des responsables d’établissement scolaire et des enfants migrants. L’apprentissage des langues, la prise en charge des jeunes ayant subi un traumatisme et la segmentation du système comptent parmi les principaux défis que doit relever la communauté éducative. En conclusion de la visite, les partenaires sociaux au niveau national et européen ont convenu de l’importance de mener un dialogue social continu pour cette problématique, de coopérer efficacement au niveau européen et de partager les bonnes pratiques.